Soirée musicale aux bougies au Fort

Voici une soirée magique qui vous emmènera découvrir trois propositions musicales 100% acoustique dans les recoins cachés du Fort de Huy. Après avoir admiré l’incontournable panorama sur la ville et la vallée de la Meuse au coucher du soleil, laissez-vous porter par l’ambiance organique de ces lieux chargés d’Histoire pour trois concerts de trente minutes subtilement éclairés à la bougie.

En pratique : Le Fort est accessible à pied (10 minutes par un sentier forestier et quelques escaliers) ou par le téléphérique (cf. site de la Ville de Huy pour les tarifs et réservations qui sont indépendants de notre organisation). Le bar du Roc au sommet du Fort sera ouvert pour vous servir à boire avec la meilleure vue.

SOLEDAD KALZA & SINA KIENOU

Deux guitares et une voix vous font voguer de protest song mandingue en chanson à texte, d’un slam futuriste à des rêves d’opéras. Soledad Kalza et Sina Kineou proposent une rencontre, une fusion des peuples autour de compositions originales, mais nourries d’héritages très anciens. Soledad Kalza et Sina Kienou présentent en avant-première une partie de leur nouvel album à paraître chez homerecords.be à l’automne 2024. Dans ce nouvel opus, ils ont voulu puiser plus profondément dans leurs racines respectives et communes.

SHAO-HUAN HUNG

Originaire de Taïwan et vivant à Bruxelles, Shao-Huan Hung joue du sheng – un instrument traditionnel chinois également appelé « orgue à bouche » – depuis l’âge de 9 ans. Formé à la musique traditionnelle chinoise jusqu’à ce qu’il se découvre une passion pour le jazz, Shao-Huan Hung présentera un mélange de compositions, d’airs traditionnels et de musique improvisée, vous faisant ainsi découvrir la riche palette sonore du sheng. 

ANAM CARA

Anam Cara, « âme sœur » en gaélique, est un duo, à la scène comme à la ville, formé par la joueuse de harpe celtique Luna Limage et le percussionniste Arthur Maione. Ensemble, ils revisitent le répertoire de la musique celtique irlandaise et bretonne et de la musique médiévale qu’ils affectionnent (Cantigas de Santa Maria, Vermeil de Montserrat, Guillaume de Machaut…). Ils alternent instrumentaux, chansons en latin, en breton ou encore en français, le tout sous forme de réalisme magique, créant une ambiance fantastique dans tous les sens du terme.